La Convention entre le ministère de la Culture
 et la Fondation ENGIE a été signée en 1994 et régulièrement renouvelée depuis lors, avec une ambition constante : entretenir le fabuleux patrimoine artistique et architectural que représentent les vitraux et verrières des édifices protégés français. La France possède en effet 80 000 verrières, soit autant que l’ensemble des pays européens réunis.

De Bourges à Chartes, en passant par Rouen, Saint-Émilion, Cahors et Nevers

En 25 ans, plus de cinquante opérations ont été menées sur tout le territoire français, des cathédrales de Bourges, Chartres, Rouen en passant la collégiale de Saint-Émilion ou la Sainte-Chapelle à Paris. Des créations de nouveaux vitraux ont également été soutenues, par exemple dans la Cathédrale de Cahors ou celle de Nevers.

Restauration à la Basilique de Saint-Denis

Le dernier projet en cours porte sur la restauration de la rose sud de la Basilique de Saint-Denis. Pierres fissurées, joints ouverts, vitraux déformés : la rose était soumise à de nombreux risques et il devenait urgent de la restaurer. Fortement engagé dans la Seine-Saint-Denis, le groupe ENGIE a eu à cœur de soutenir cette restauration via sa fondation d’entreprise. Le partenariat porte aussi sur l’étude de faisabilité pour le remontage de la flèche du 12e siècle de la basilique.

– Création et restauration de vitraux dans 52 monuments historiques, dont 17 créations contemporaines
– Plus d’une centaine de projets locaux complémentaires

« Le patrimoine, c’est un moyen de donner – ou de redonner – à un territoire son identité. Un moyen d’en fédérer les habitants, de les aider à se réapproprier leur environnement. De les réunir, de renforcer leur sentiment d’appartenir »

FRANCK RIESTER - MINISTRE DE LA CULTURE, MAI 2019