NOUS ON CRÉÉ ! (NOC), QUAND LES ARTS PLASTIQUES RENCONTRENT L’HÔPITAL

NOUS ON CRÉÉ ! (NOC), QUAND LES ARTS PLASTIQUES RENCONTRENT L’HÔPITAL

L’association « Nous on créé ! » (NOC) soutenue par la Fondation ENGIE rend visite aux enfants et jeunes dans les hôpitaux pour leur proposer des ateliers d’arts plastiques gratuits et ainsi participer à l’amélioration de la qualité de vie de ces enfants hospitalisés.

Dans ce cadre, de nombreuses animations et ateliers ont été menés à l’Institut Curie, à l’Hôpital Necker ainsi qu’à l’Astrolabe / Hôpital Louis Mourier pour un nombre de participant total de plusieurs centaines d’enfants répartis lors de plusieurs dizaines d’ateliers.

En raison de la crise sanitaire, tous les ateliers, sorties et expositions n’ont malheureusement pas pu être organisés, notamment pendant le confinement entre la mi-mars et juin 2020. À la place, NOC a regorgé de solutions en proposant des activités artistiques à distance avec des challenges Instagram, la création de stickers, etc. L’association en a profité pour lancer un audit avec l’entreprise Business Dream en mécénat de compétence ainsi qu’un audit stratégique réalisé bénévolement par Hanna Jurkiewicz.

Les enfants à qui l’association vient en aide ont également pu participer au projet « Origami for Life » du designer belge Charles Kaisin ainsi que recevoir une boule à neige personnalisée offerte aux enfants comme aux soignants en guise de souvenir.


LA CITÉ MUSICALE-METZ FAIT PARTICIPER LES ÉCOLES À DES CRÉATIONS MUSICALES ET SCÉNIQUES

LA CITÉ MUSICALE-METZ FAIT PARTICIPER LES ÉCOLES À DES CRÉATIONS MUSICALES ET SCÉNIQUES

La Cité Musicale-Metz est l’une des institutions phares de la ville, hébergeant l’Orchestre National de Metz et proposant de nombreux projets. Soutenue par la Fondation ENGIE, la Cité Musicale sort de ses murs pour aller à la rencontre de différents publics et les initier aux arts musicaux et arts de la scène. Dernièrement et prochainement, ce sont 4 projets qui sont soutenus par la Cité musicale-Metz et la Fondation ENGIE :

– Le projet « Interludes à la mer » a permis à quatre classes de cycle 2 et 3 de préparer des paysages sonores inspirés de la forêt pour les intégrer au projet mené par Christophe Costeceque « le Semeur de Sons », Chaire Humbertjean à la flûte et Pascal Heyriès au hautbois, tous musiciens de l’Orchestre national de Metz.

– Une intervention à Dompaire (88), dans le cadre d’une tournée de l’Orchestre national de Metz dans les collèges de la région Grand Est, a permis à Pauline Lorieux et Émilien Hu de présenter le Kamishibaï du violon et de la contrebasse accompagnés de Nathalie Galloro, conteuse, au collège Michel de Montaigne à Dompaire (88).

– Les « Hommes Boites » du spectacle PROGHBZero de la Compagnie Ormone ont pu se représenter dans différentes écoles comme devant les maternelles La Cerisaie à Woippy.

– Le projet « Tableaux sonores » propose à cinq classes de cycle 3 de trois communes du Saulnoy de participer à la création d’une exposition-concert. Encouragée par la Cité musicale-Metz et s’inspirant de la démarche de Modest Moussorgski dans son œuvre symphonique Les Tableaux d’une exposition, chaque école proposera tantôt la prestation musicale aidée par l’artiste musicienne Cécile Thevenot, tantôt les productions plastiques aidée par l’artiste plasticienne Lucile Hoffman. Courant juin, l’exposition-concert aura lieu dans un espace de l’intercommunauté.


DIX MOIS D’ECOLE ET D’OPÉRA, LE PARFAIT ÉQUILIBRE

DIX MOIS D’ECOLE ET D’OPÉRA, LE PARFAIT ÉQUILIBRE

Depuis 1991, le programme « Dix Mois d’École et d’Opéra » mis en place par l’Académie de l’Opéra national de Paris, en partenariat avec les Rectorats de Paris et Versailles et soutenu par la Fondation ENGIE propose aux élèves relevant de l’Éducation prioritaire de suivre un cursus basé sur la découverte de la culture et de l’art qui met au coeur de ses préoccupations l’accès à la citoyenneté et la réussite scolaire.

Avec l’Opéra National de Paris, la Fondation ENGIE a accompagné par exemple pendant deux ans la classe de CM1-CM2 de l’école Manin, Paris 19ème dans le projet Dix mois d’école et d’opéra. Axé sur la culture et l’éducation, Dix mois d’école et d’opéra a pour objectif d’écrire et de jouer un opéra ballet sur les grands mythes et l’opéra.

Malgré la crise sanitaire actuelle, le programme a su se réinventer pour convenir aux réglementations et ainsi poursuivre son projet d’enseignement et de découverte de l’art auprès de ces jeunes. Le programme suivi dans son entièreté permettra à chaque élève d’avoir :

– vu au moins un spectacle à l’Opéra ou en vidéo
– découvert un ou plusieurs métiers de l’Opéra
– bénéficié d’ateliers de pratique artistique pour découvrir plus de 100 métiers différents ainsi que la pratique artistique.
– visité le Palais Garnier et/ou l’Opéra Bastille sur place un via une conférence illustrée.

« Grâce à ce projet ça m’a donné envie de jouer ce rôle. Avant quand on me l’a donné, j’y croyais pas du tout. »

un des élèves de la classe

En 2019, le programme s’est complété du dispositif « Petits violons ». Ce sont désormais 7 classes qui bénéficient d’un apprentissage du violon, de l’alto et du violoncelle à raison de sept heures par semaine sur leur temps scolaire. Véritable dispositif d’excellence, cette saison l’Académie a décidé d’étendre ce programme à plusieurs établissements scolaires de la région. Ce programme participe ainsi au développement affectif, émotionnel et intellectuel des enfants par la musique, la danse et les mots. En tout, ce sont 20 000 élèves accompagnés de leurs professeurs qui viennent chaque saison à l’Opéra grâce aux services pédagogiques de l’Académie. De quoi faire de ce programme une véritable source d’inspiration, de persévérance, d’excellence et de fierté chez les élèves comme leurs professeurs.

LES FORMATIONS

Formation de chanteurs

La formation de chanteur prévoit l’étude de toutes les spécificités liées à cette profession lors de masterclass avec des professeurs spécialisés et des chefs internationaux ainsi que lors de séances de travail individuelles. Des chorégraphes sont également présents pour les initier au travail sur le corps, le geste et le mouvement. Mis en situation professionnelle, l’immersion est totale tandis que les chanteurs sont invités à participer aux productions lyriques et aux récitals de l’Académie ainsi qu’aux productions sur les scènes de l’Opéra Bastille et du Palais Garnier.

Formation de metteur en scène

Le metteur en scène, qui intègre l’Académie en résidence, peut alors comprendre toutes les spécificités de la mise en scène d’opéra. Tout en suivant le travail de mise en scène sur certaines productions de la saison, il mène également une réflexion sur différentes œuvres classiques en échangeant avec tous les corps de métiers : chef d’orchestre, metteur en scène, costumier, etc. La fin de sa résidence se clôt par la réalisation d’un workshop avec les artistes et les artisans d’art de l’Académie.

Formation de musiciens

Après avoir intégré l’Académie pour compléter leur formation, les musiciens participent en surnombre aux répétitions et représentations des productions lyriques et chorégraphiques au Palais Garnier et à l’Opéra de Paris. Bénéficiant de séances de travail individuelles ou en groupes avec les solistes de l’Orchestre, ils se préparent ainsi aux concours, tout en participant aux productions et concerts de l’Académie. Les musiciens en résidence suivent quant à eux des cours de développement de leur conscience corporelle.

Formation de Pianistes chefs de chant

La formation dédiée aux pianistes-chefs de chant a pour objectif de les préparer aux exigences et à la diversité de leur profession. Étudiant différents répertoires à travers des séances de travail individuelles ou en groupe avec les chefs de chant de l’Opéra national de Paris, ils accompagnement également les chanteurs en résidence dans leurs leçons. Eux aussi se produisent lors de concerts ou récitals de l’Académie avec les autres musiciens en résidence. Ils sont également amenés à travailler sur des productions de l’Opéra Bastille et au Palais Garnier.


« DESTINATION MUCEM », LA CITÉ PHOCÉENNE À L’HEURE DE L’ART POUR TOUS

« DESTINATION MUCEM », LA CITÉ PHOCÉENNE À L’HEURE DE L’ART POUR TOUS

À Marseille, 27,6% des habitants résident dans un quartier prioritaire de la politique de la ville. C’est pourquoi le MUCEM a lancé « Destination Mucem », plusieurs lignes de bus qui relient le musée aux quartiers éloignés pour rendre la culture accessible à tous.

Ce projet, mené avec le mécénat de la Fondation ENGIE, consiste en l’utilisation de bus de collection restaurés par les Amis du Rail et des Transports de Marseille (ARTM) pour passer toutes les semaines dans les quartiers Nord Est, Est, Sud et Nord de la ville.

À bord de ce bus gratuit, une médiation personnalisée et ludique tenue par des guides conférenciers spécialement formés proposent aux participants récits de voyage, découverte urbaine et discussion. Pour se prémunir du Covid 19, les dispositions sanitaires ont été appliquées avec la réduction des places disponibles, passant de 106 à 40 places disponibles. Une fois arrivé à bon port, ce sont les agents d’accueil et de médiation du musée qui prennent la suite pour inviter les participants à visiter les expositions et découvrir l’offre de programmation en fonction du quota de places gratuites réservées pour eux.


CAMPUS UNESCO

CAMPUS UNESCO

La Fondation ENGIE et UNESCO ont développé depuis 2014 le concept des Campus UNESCO, qui ont permis de sensibiliser un large public de jeunes élèves aux grandes problématiques du monde actuel, dans les domaines de compétence de l’UNESCO. Ces rendez-vous réguliers au siège de l’UNESCO ont donné naissance à des rencontres fortes entre des personnalités et le jeune public, et démontré la pertinence du concept.

OBJECTIF : Mettre l’expertise des équipes de l’UNESCO et de nos partenaires au service des jeunes pour une meilleure compréhension des grands enjeux contemporains.

Lutter contre la fracture numérique à l’école : c’est aussi l’un des axes de la Fondation La Fondation s‘est mobilisée pour aider ses partenaires à passer en mode distanciel. L’exemple le plus marquant est sans doute celui des Campus UNESCO,. En 2020, les Campus sont passés en mode 2.0, ils se sont ouverts à l’international et ont augmenté leur audience sur les réseaux sociaux.

IMPACT : 150 000 VUES SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX

2021

- Développement des Campus Unesco à l’international

- Les Campus passent à la vitesse supérieure, en intégrant davantage le programme au sein des réseaux de l’UNESCO, ses bureaux, ses experts, ses écoles et ses médias (réseaux sociaux et partenaires médias) et de profiter pleinement du rayonnement digital

- 16 avril 2021
250 élèves de 8 pays réunis pour un Campus UNESCO webinaire Sport et Démocratie sur le thème de « l’engagement sociétal de l’olympisme »

CHIFFRES CLÉS DEPUIS 2014

- 42 - 30,000 enfants
- Plus de 100 campus (95 France/ Paris et 5 internationaux)
- 150 intervenants
- 150 000 vues réseaux sociaux
- Plus de 650 collèges et lycées (600 France et 50 international)
- Construction d’une liste de 1250 écoles internationales pour les campus internationaux (Afrique Moyen Orient, les iles)
- 92% des participants souhaiteraient participer à nouveau à un Campus
- 89% des participants recommanderaient les Campus UNESCO
- 80% des Campus ont générés des discussions au sein de la classe, de l’établissement, des familles
- 72% des enseignants sont satisfaits des informations
fournies avant le Campus


QUAND UN DESSIN NOUS RÉAPPREND À VIVRE ENSEMBLE : LA FONDATION PLANTU

QUAND UN DESSIN NOUS RÉAPPREND À VIVRE ENSEMBLE : LA FONDATION PLANTU

Seule l’éducation et peut être aussi le rire peuvent vaincre la barbarie, donner le goût des autres, de faire société. Cela a été au cœur de la création de l’association « Cartooning for Peace », créée en 2006 par Plantu mais aussi désormais de sa fondation, avec une ambition : partager par le dessin, l’humour, lutter contre les intolérances.

Plantu multiplie les interventions dans les écoles, les collèges, les lycées. « Il y a aujourd’hui une vraie urgence pédagogique à réinventer, car il y a une montée de l’antisémitisme, de l’islamophobie et un déficit de conversation ». En 2016, dans la foulée des attentats de Paris et Bruxelles, il décide qu’il faut encore aller plus loin et créé la Fondation qui porte son nom. Le but de cette fondation est de lutter contre les exclusions et de sensibiliser les enfants et adolescents français et belges à la lutte contre l’intolérance, grâce à la création artistique. « Une urgence à l’heure où nos démocraties se fragilisent ». La rencontre avec la Fondation ENGIE s’est faite en novembre 2017, lors de l’exposition Traits d’union organisée par la Fondation Plantu dans le quartier de Molenbeek, à Bruxelles. La Fondation ENGIE a alors décidé d’apporter son soutien à Plantu, en aidant notamment à l’organisation d’activités dans les écoles. Plantu intervient régulièrement lors des CAMPUS Unesco sur la liberté d’expression et devant les collaborateurs d’ENGIE au siège.

Quant à Plantu lui-même, il reste fidèle à son personnage : toujours disponible, toujours généreux, toujours prêt à donner de son temps et de son talent. Même au plus fort de la crise du Covid, il n’a pas hésité à dégainer son crayon pour effectuer quelques dessins pour la Fondation ENGIE.

« Je me suis rendu compte que l’école n’était pas faite pour moi. Pour mes premiers pas, mon père m’a donné un crayon, et j’ai eu le sentiment de m’appuyer sur quelque chose. [...] Au bout d’un certain temps, j’ai compris que le dessin, l’art pouvait être une possibilité de m’en sortir. Je me suis lancé dans le dessin et évidemment, ça n’a pas marché du jour au lendemain. C’est pour ça que j’ai créé la fondation Plantu pour mettre ensemble des jeunes que j’appelle des «oubliés de la république» avec des professionnels. Il faut qu’il y ait des mains tendues. »

Plantu


RENCONTRE AVEC SARAH OURAHMOUNE

RENCONTRE AVEC SARAH OURAHMOUNE

« La vie mérite d’être vécue, quel que soit l’endroit d’où on vient »

Après avoir passé son enfance à Aubervilliers, Sarah Ourahmoune est la première femme en France à être licenciée dans un club de boxe. Elle remporte dix titres de championne de France, avant de devenir championne du monde en 2008, puis vice-championne olympique en 2016, à Rio. Nombre de combats effectués : 265. Elle intègre Sciences-Po et devient chef d’entreprise dans le coaching sportif « Boxer Inside ». Engagée contre les violences faites aux femmes, elle incarne un modèle de ténacité et de réussite. On doit prendre notre place sans attendre qu’on nous la donne » Depuis 2017, elle est aussi vice-présidente du Comité olympique chargé des mixités.

« Par hasard », elle pousse la porte du club de boxe d’Aubervilliers. « Je ne me suis pas dit : “Tu es une fille, tu ne peux pas boxer.” Ma mère a grandi en Algérie et a beaucoup souffert de la différence de traitement entre les filles et les garçons. Elle m’a élevée comme mes frères, en me disant : “Fais ce que tu veux, et si tu décides de le faire, fais-le bien” »


FÊTE LE MUR : PLUS QUE LA PRATIQUE DU TENNIS… AVEC YANNICK NOAH… LA CITOYENNETÉ ET L’INSERTION, REDONNER UNE CHANCE AU CŒUR DES QUARTIERS

FÊTE LE MUR : PLUS QUE LA PRATIQUE DU TENNIS… AVEC YANNICK NOAH… LA CITOYENNETÉ ET L’INSERTION, REDONNER UNE CHANCE AU CŒUR DES QUARTIERS

Depuis 1999, la Fondation ENGIE est partenaire de Fête le Mur, créée par Yannick Noah, et partage son ambition : permettre aux enfants des Quartiers Prioritaires de la Politique de la Ville (QPV) d’accéder à la pratique du tennis et de bénéficier de tout ce que ce sport peut leur apporter en terme de bien-être, d’épanouissement, d’ouverture au monde et de professionnalisation. Elle est actuellement présente dans 119 quartiers en France et dans les départements d’outre-mer.

Fête le Mur a par ailleurs développé la compétition éducative, nouveau format des compétitions régionales avec le soutien de la Fondation ENGIE et la participation des Délégations Régionales d’ENGIE, afin de permettre à chaque jeune de découvrir la compétition, de progresser en s’amusant, de sortir du quartier, de participer à une activité culturelle et d’ aller à la rencontre des autres.

– 12 nouvelles implantations Fête le Mur ont vu le jour en 2020.

– 7000 jeunes ont bénéficié de ses différents programmes en 2020, encadrés par des équipes professionnelles et des entraîneurs de tennis diplômés

– En juin 2021, ce sont 6 sites qui ouvrent aux quatre coins du territoire : Remiremont, Saint-Omer, Reims, Mulhouse, Roubaix, Blois.

Chiffres globaux

– 42 537 jeunes ont bénéficié des actions Fête le Mur ces 24 dernières années
– 55 % de garçons et 45 % de filles
– 7000 ont bénéficié des actions Fête le Mur dans les QPV lors de la saison sportive 2019 (bénéficiaires directs, sans compter les familles impactées)
– dont 5952 licenciés

En 2020

– 25 560 heures de terrain
– 162 sorties culturelles, sportives, visites d’entreprises
– 3079 enfants, jeunes et adultes bénéficient plus particulièrement de l’un de ses programmes d’éducation ou d’insertion (compétition éducative, décloisonnement, arbitrage, ramassage, découverte de métiers, orientation de parcours, formation, coaching d’insertion, insertion professionnelle, promotion des filles)

A ce jour Fête le Mur est présente dans :

– 62 villes. Fête le Mur a par ailleurs développé 2 expérimentations innovantes avec ITEP des Yvelines et EPEI Nord des Yvelines
– 122 quartiers (109 QPV, 12 QVA)

En 2021 (malgré le confinement) : Tour de France de la Compétition Éducative

– 6 étapes
– 131 jeunes (60 filles et 71 garçons) y ont participé, 306 matchs joués

Compétition éducative

– 11 jeunes ont joué en compétition homologuée dont 39% de filles. Environ 600 inscriptions au total et 1500 matchs sur 88 tournois différents
– 75% des implantations remplacent une ou plusieurs fois dans l’année leur séance par des matchs depuis le lancement du programme de Compétition Éducative
– 48% des implantations ont créé des temps consacrés aux matchs en marge de leurs séances


LE CHOIX DE L’ÉCOLE : DONNER LE GOÛT D’ENSEIGNER

LE CHOIX DE L’ÉCOLE : DONNER LE GOÛT D’ENSEIGNER

Encourager et accompagner de jeunes diplômés et jeunes actifs vers l’enseignement dans les collèges publics des quartiers prioritaires : c’est le pari du Choix de l’Ecole, attirer les talents vers des zones souvent délaissées. Depuis 2015, ce sont plus plus de 230 personnes âgées de 22 à 35 ans qui se sont reconvertis dans l’enseignement et qui ont partagé leur savoir auprès de plus de 35 000 collégiens dans quatre académies partenaires : Créteil, Versailles, Paris et Aix-Marseille. Cette dernière année, ils ont été 104 jeunes actifs supplémentaires à suivre Le Choix de l’école pour 11 000 élèves qui ont pu bénéficier de leur enseignement. Parmi eux, et grâce au soutien de la Fondation ENGIE, 15 enseignants sont accompagnés par l’association dans l’Académie Aix-Marseille depuis 2020. Ils ont été affectés dans 15 collèges des Bouches-du-Rhône et du Vaucluse pour enseigner les mathématiques, l’anglais et les SVT auprès de 1620 élèves scolarisés dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville. Pour obtenir ces postes d’enseignant, ils ont été 320 candidats éligibles, 235 à déposer une candidature, 124 à être admissibles et 65 à être admis pour la rentrée 2021. Afin de les former, une Université d’été est organisée comme en 2020, du 6 au 24 juillet, et qui a accueilli le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer. Pendant ces trois semaines, les futurs enseignants ont pu participer à des ateliers et conférences pour comprendre les grands enjeux de l’éducation et savoir prendre de la hauteur par rapport à leur futur métier. Chaque matin pendant deux semaines, ils ont pu également animer des ateliers de soutien scolaire pour 70 jeunes de la Courneuve, le tout encadrés par des professeurs expérimentés. La Fondation ENGIE est fière de les accompagner dans leur nouvelle carrière d’enseignants.


BIODIVERSITÉ ET LUTTE CONTRE LE HANDICAP

BIODIVERSITÉ ET LUTTE CONTRE LE HANDICAP

Partenaire de la LPO, la Fondation ENGIE a soutenu la rénovation du centre de soins de la Station LPO de l’Île Grande et participer à l’évolution de l’offre pédagogique jeunesse et publics fragiles pour prendre mieux en compte les personnes de handicap et développer des partenariats avec des institutions ou établissements scolaires inclusifs pour jeunes autistes, en échec scolaire ou en situation de handicap . Depuis 2015, la Station LPO est labellisée « Tourisme et Handicap » pour 2 familles de handicaps (mental et moteur).

En raison de la crise sanitaire, l’accent a été mis sur l’accessibilité de l’espace muséographique, et sur un partenariat avec un foyer de vie : basé à Ploumagoar (22), le foyer de vie Roger Legrand est un établissement pouvant accueillir 63 personnes en situation de handicap.