AUTONOMISER ET DÉPLOYER LES TALENTS

AUTONOMISER ET DÉPLOYER LES TALENTS

Trop de femmes demeurent aujourd’hui encore réduites à des fonctions subalternes, avec un moindre accès à l’éducation et à l’autonomie. Pourtant, ce sont souvent elles qui font tourner les communautés. C’est pourquoi il est urgent de les aider à déployer leurs talents, leur énergie, leur créativité. C’est aussi le combat mené par la Fondation ENGIE. Zoom sur quelques initiatives.

PROGRAMME « SALLES DIGITALES » DE L’ONG AFGHANISTAN LIBRE

La Fondation ENGIE est aussi particulièrement impliquée sur le sujet de l’accès des femmes aux métiers du numérique. Depuis 2017, la Fondation soutient notamment le programme « salles digitales » de l’ONG Afghanistan Libre. « Sur le papier, c’est un projet fou. Ouvrir des salles digitales dans des villages sans électricité, dans l’un des pays les plus dangereux au monde, où seulement 28% des filles ont à l’enseignement secondaire. Rien ne colle et pourtant la Fondation ENGIE nous a soutenu dès le début », raconte Chékéba Hachémi, à l’origine du projet avec l’ONG Afghanistan Libre.

IMPACT : 1000 jeunes filles formées par an.

CHÉKÉBA HACHÉMI, membre du conseil d’Administration de la Fondation ENGIE et fondatrice de l’ONG Afghanistan Libre, est de celles qui ne lâchent jamais. Depuis vingt ans, elle se bat contre vents et marées pour défendre la cause qui lui tient à cœur : donner une éducation aux filles en Afghanistan, son pays d’origine. Selon l’indice GIWPS, l’Afghanistan est « le pire pays où vivre en tant que femme ». Autant dire que le combat de Chékéba est rude. La Fondation ENGIE est à ses côtés depuis plus de 5 ans.

Pourquoi ce combat pour l’éducation des filles afghanes ?

Parce que tout part de l’éducation. C’est le pilier à partir duquel tout se construit. C’est aussi la meilleure arme contre l’obscurantisme. Les jeunes filles, une fois formées, imposent une nouvelle façon de voir à l’ensemble de sa communauté. Elles ne pourront plus jamais se taire. On ne pourra plus les cloitrer, même si les Talibans reviennent. Chaque pas gagné par l’éducation des filles est un pas gagné contre l’obscurantisme… sans retour arrière possible. Ca mérite le combat, non ?

Comment est née l’idée de classes digitales ?

Soutenir l’éducation des filles ne suffit plus, il faut aussi leur offrir des perspectives d’avenir. Les Classes Digitales s’inscrivent dans cette optique de professionnalisation résolument ancré dans le 21ème siècle. Il s’agit de former des jeunes filles (15-17 ans) aux métiers du numérique, dans des zones rurales éloignées. Sur le papier, c’est un projet fou. Ouvrir des salles digitales dans des villages sans électricité, dans l’un des pays les plus dangereux au monde, dans des provinces où seules 28% des filles ont accès à l’enseignement secondaire : rien ne colle ! On ne rentre pas dans les tableaux Excel des financeurs de projets… J’en suis d’autant plus reconnaissante à la Fondation ENGIE de nous avoir accompagné.e.s dès le début. La Fondation ENGIE et ses équipes n’ont pas eu peur d’un projet aussi loin et aussi ambitieux, elle nous a accompagné à chaque étape du projet. Y compris pour l’expertise des panneaux solaires nécessaires au projet.

Bien sûr, le projet n’aurait pas pu se faire sans la complicité des villageois, que nous avons gagnée petit à petit, au fil des années. Nous sommes implantées là-bas depuis vingt ans, ça paie ! Aujourd’hui, les résultats sont là. Mille filles sont formées chaque année.


PROGRAMME INSPIRE DE L’ONG VALUED CITIZENS INITIATIVE EN AFRIQUE DU SUD

La Fondation ENGIE soutient le programme INSPIRE, imaginé par l’ONG sud-africaine Valued Citizens Initiative. Le but de ce programme est d’aider les jeunes filles à prendre conscience de leur potentiel, pour en faire des citoyennes actrices du développement de leur pays. Ateliers sur la liberté de jugement ou l’estime de soi permettent aux jeunes filles de prendre conscience de leurs droits et de refuser la victimisation.

IMPACT : Plus de 100 000 bénéficiaires depuis la création du programme en 2009

« Les filles peuvent tout faire et s’orienter vers n’importe quelle carrière »

Aurélie Jean, mathématicienne, CEO de In Silico Veritas et membre du CA de la Fondation ENGIE

Titulaire d’un doctorat à l’Institut des Mines, mathématicienne et entrepreneuse, Aurélie Jean a été classée en 2019 parmi les 40 femmes françaises les plus influentes par le magazine Forbes. Bel exploit à tout juste 35 ans ! Son combat : faire en sorte que les filles « sachent qu’elles peuvent tout faire et s’orienter vers n’importe quelle carrière ! Y compris dans la tech, les sciences ou les mathématiques ! ». Alors que les femmes représentent seulement 30% des effectifs dans les métiers du digital – dont 85% dans des fonctions support ! –, les jeunes filles ont bel et besoin de « role model » comme Aurélie Jean pour leur ouvrir la voie. La Fondation ENGIE est fière qu’Aurélie ait rejoint les membres de son conseil d’administration en 2020… et reconnaissante que la jeune chercheuse prenne la parole en son nom à l’occasion de la Journée de la Femme. La 4 mars dernier, elle a ainsi participé, aux côtés de Erick Orsenna – autre membre du Conseil d’Administration – à l’émission Connect Live, organisée par la tribune. Sujet de l’émission : les femmes et le numérique, bien sûr !


L’ONG ACTED OUZBÉKISTAN SOUTENUE PAR LA FONDATION ENGIE

Cette ONG propose aux femmes victimes de violences conjugales de suivre un programme de formation, leur permettant d’acquérir des compétences professionnelles et de devenir autonomes financièrement. Certaines des femmes accompagnées ont pu monter leur petite entreprise à l’issue du programme – ateliers de couture, boulangeries, fabrique de produits laitiers.

IMPACT : 75 femmes bénéficiaires des formations


A NANTES (44) ET PARTOUT EN FRANCE AVEC L’ASSOCIATION RÉSONANTES

A NANTES (44) ET PARTOUT EN FRANCE AVEC L’ASSOCIATION RÉSONANTES

Lutter contre les violences faites aux femmes grâce aux technologies digitales : c’est le credo de l’association Resonantes, créée en 2015 par la slameuse Diariata N’Diaye. L’association nantaise, soutenue depuis 2020 par la Fondation ENGIE, a notamment lancé App-Elles, la première appli mobile destinée aux filles et femmes victimes de violence. L’appli a été primée à de nombreuses reprises, notamment au CES de Las Vegas en 2019. Alors que le confinement a entrainé une hausse des violences faites aux femmes dans le cadre du domicile (+30% de plaintes en France), l’appli a montré qu’elle répondait à une urgence sociétale.

Avec le soutien de la Fondation Engie, Résonantes va intervenir dans 3 lycées de Lyon, Villeurbanne et Vaulx-en-Velin avec le dispositif « Fais Pas Genre » à la rentrée 2021. Ces temps de sensibilisation aux violences sexistes et sexuelles seront adressées à près de 1000 élèves ainsi qu’à l’ensemble des équipes pédagogiques.

« Contre les violences faites aux femmes, il faut se dire qu’on peut agir, qu’on doit agir... Et il faut agir ! »

Diariata N’Diaye, artiste, fondatrice de l’association Les Résonantes

« Très tôt, j’ai été convaincue que l’art avait le pouvoir de changer le monde ». Diariata N’Diaye sait de quoi elle parle. A quinze ans, elle aurait dû se marier – un mariage arrangé, ils sont fréquents dans sa communauté. C’est la chanson « Non » de la rappeuse BAMS qui lui donne la force d’échapper à son mariage et de s’inventer un destin. Un destin qui peut se résumer en quelques mots : lutter contre les violences faites aux femmes. Elle commence par slamer, en créant le spectacle Mots pour Maux en 2009, qui parle de ce sujet. Elle intervient dans les écoles, organise des ateliers d’écriture. « Dans l’intimité des ateliers, les langues se délient. Au fil des mots, j’ai tiré le fil… et j’ai recueilli des témoignages horribles », raconte-t-elle. En 2015, elle franchit une nouvelle étape et crée Résonantes, à Nantes. Le but ? Toujours et encore sensibiliser. Et agir concrètement, en aidant les femmes confrontées aux violences. Pour ce faire, Diariata lance l’appli App-Elle, qui permet aux femmes de lancer des alertes quand elles sont menacées. Dès lors, tout s’enchaîne : l’appli est remarquée par les pouvoirs publics, primée au CES de Las Vegas en 2019. Mais Diariata N’Diaye garde les pieds sur terre. Au fond, elle n’a fait que ce qu’elle devait faire. « Contre les violences faites aux femmes, il faut se dire qu’on peut agir, qu’on doit agir… et il faut agir » : c’est aussi simple que cela.


A SAINT-DENIS (93) AVEC LA MAISON DES FEMMES

A SAINT-DENIS (93) AVEC LA MAISON DES FEMMES

Un petit bâtiment coloré, ouvert sur la rue, juste à côté de l’entrée de la maternité de l’hôpital Delafontaine à Saint- Denis : la Maison des Femmes est un espace chaleureux, qui accueille les femmes victimes de violences ou sans domicile. Créée en 2016 par Ghada Hatem, gynécologue-obstétricienne à l’hôpital Delafontaine, c’est la première structure en France à offrir une prise en charge totale des femmes victimes d’excision. Elle bénéficie du soutien de la Fondation ENGIE depuis cette année.

« Pas question de fermer pendant le confinement. Il fallait être là pour les femmes victimes de violences »

Ghada Hatem, gynécologue-obstétricienne, fondatrice de la Maison des Femmes de Saint-Denis.

Décorée de la légion d’honneur, Ghada Hatem est une grande dame de la lutte contre les violences faites aux femmes. Elle a grandi à Beyrout, qu’elle a quitté pour Paris en 1977, alors que la guerre civile faisait rage. « Avoir connu la guerre a développé en moi une intolérance à toutes formes de violences », explique-t-elle. Arrivée en France, elle devient gynécologue et travaille d’abord dans les maternités les plus prestigieuses. En 2011, elle rejoint la maternité de l’hôpital Delafontaine, à Saint-Denis. « A l’hôpital, on accueillait des femmes sans domicile qu’on renvoyait à la rue après l’accouchement, d’autres étaient victimes de violences. Je me suis dit qu’on ne pouvait pas continuer comme ça », explique-t-elle simplement. Alors, elle prend son bâton de pèlerin et se met en quête de fonds, avec le soutien de Gisèle Halimi, pour créer la Maison des Femmes et « venir en aide aux femmes en galère ». Aujourd’hui, une équipe de sages-femmes, psychologues, juristes, travailleurs sociaux, conseillers conjugaux travaille dans la structure. L’équipe est restée en place pendant le confinement.

« Depuis de nombreuses années, ENGIE mène une politique volontariste pour promouvoir la mixité et l’égalité professionnelle femme- homme, déploie des actions concrètes destinées à faire progresser les femmes au sein du Groupe et les accompagner dans leur évolution de carrière : mise en place d’objectifs chiffrés, animation d’un réseau de femmes « Women in Networking », accord Européen sur l’égalité professionnelle, politique de parentalité, partenariats, campagne de lutte contre le sexisme, égalité salariale... La féminisation du Groupe fait partie des indicateurs suivis et notamment la parité managériale pour les indicateurs extra-financiers d’ENGIE.... Cette exigence, cette vision sont portées, s’incarnent aussi dans les actions philanthropiques menées par la Fondation.»

Elisabeth Richard, Administratrice de la fondation ENGIE


ÉCHANGES ET DISCUSSIONS AVEC CHÉKÉBA HACHÉMI, ZAHIA ZIOUANI ET DAMIANO GIAMPAOLI

ÉCHANGES ET DISCUSSIONS AVEC CHÉKÉBA HACHÉMI, ZAHIA ZIOUANI ET DAMIANO GIAMPAOLI

Le 8 mars dernier, des lycéens et collégiens de cinq classes à travers le monde (Liban, Sé- négal, Turquie, Cote d’Ivoire, Ile de la Réunion) ont pu échanger avec trois personnalités au com- bien importantes : Chékéba Hachémi, fondatrice de l’ONG « Afghanistan Libre », première femme diplomatie afghane et administratrice de la Fondation ENGIE, Zahia Ziouani, cheffe d’orchestre et créatrice de l’orchestre symphonique Divertimento (93) soutenu par la fondation ENGIE, et Damien Giampaoli, spécialiste à l’UNESCO de l’égalité des genres.

Femmes et digital

En amont de la Journée internationale des droits des femmes, dans le cadre du Connect Live La Tribune, Aurélie Jean, docteur en sciences, CEO de In Silico Veritas et administratrice de la Fon- dation ENGIE, a pu débattre avec l’écrivain Erik Orsenna de la place des femmes dans les métiers du numérique. Yves Le Gélard, Directeur Général Adjoint en charge du Digital et des Systèmes d’Infor- mation chez ENGIE participait également à l’émission.

La Fondation ENGIE soutient celles qui se battent pour un monde plus juste

« Je suis convaincue que le monde de demain a besoin d’une présence forte des femmes, dans les gouvernances, les arts, les sciences »

Zahia Ziouani, cheffe d’orchestre, fondatrice de l’Orchestre Divertimento.

Zahia Ziouani a très vite su qu’elle voulait devenir cheffe d’orchestre. Mais tous lui disaient : « concentre-toi sur tes études, ce n’est pas un métier de femme ». Pourtant, elle n’a pas lâché. Encore adolescente, elle est admise au cours de direction du chef Sergiu Celibache. Le maestro était le héros de Zahia adolescente.

« Son portrait ornait un mur de ma chambre », se souvient-elle. Zahia va très vite : elle n’a qu’une vingtaine d’années quand elle crée l’Orchestre Symphonique Divertimento, composé de plus de soixante musiciens professionnels issus de Paris et la banlieue. Elle devient directrice du Conservatoire de Stains (93) à 25 ans. Depuis, elle multiplie les concerts… et les projets en faveur de l’accès à la musique pour tous. Et elle garde une conviction chevillée au corps : une juste répartition des rôles entre les hommes et les femmes est essentielle pour construire le monde de demain. Elle en a la preuve tous les jours : « L’Orchestre Symphonique Divertimento donne le meilleur de son talent et de sa qualité quand les rangs de ses pupitres sont constitués d’hommes et de femmes complices, solidaires et engagés », explique-t-elle.


STAND SPEAK RISE UP !

STAND SPEAK RISE UP !

Créée en septembre 2019 sous l’impulsion de la Grande-Duchesse de Luxembourg, avec le soutien de la Fondation ENGIE, l’association agit comme « porte-voix » pour donner à entendre les victimes mais aussi les porteurs de solutions. Elle organise ainsi des rencontres régulières autour de thématiques précises, en conviant à la fois des survivantes et des experts internationaux spécialisés. L’objectif est de dresser des constats factuels, de proposer des solutions et d’agir auprès des instances internationales afin de faire bouger les lignes.

Le programme de l’association a été développé autour de plusieurs thématiques directement définies lors du premier Forum de Luxembourg avec les survivantes et les spécialistes :

– Soigner les blessures physiques, psychologiques
– Mettre fin au stigma pour les victimes
– Unifier les règles et les lois pour la justice
– Réparer les préjudices
– Développer la technologie et la finance au profit des victimes W Améliorer l’inclusion des enfants nés du viol.

Les prix Nobel Nadia Murad, Denis Mukwege et Mohammad Yunus ont participé à l’événement.

La Fondation ENGIE soutient celles qui se battent pour un monde plus juste

« De la place où je suis, ma voix peut porter. Si je ne parle pas, qui le fera ?»

Maria-Térésa Mestre, Grande-Duchesse du Luxembourg

Pas question pour la Grande-Duchesse de Luxembourg de se cantonner à inaugurer des centres de charité : Son Altesse Royale est de celles qui veulent changer le monde, en défendant les plus fragiles. Elle a été l’une des premières à croire au micro-crédit et à travailler avec Mohammad Yunus, « le banquier des pauvres », qui recevrait le Prix Nobel de la Paix en 2006. En 2018, elle fait une autre rencontre décisive, celle du Docteur Denis Mukwege, lui aussi Prix Nobel. De là est né le Forum Stand Speak Rise Up !, qui vise à sensibiliser le public au fléau du viol de guerre. La cause peut faire peur à certains, la Grande Duchesse de Luxembourg ne cache pas qu’elle a dû essuyer des critiques en se saisissant de ce sujet. Qu’à cela ne tienne : redonner leur dignité aux femmes victimes vaut toutes les batailles, si rudes soient-elles.


POUR LA FONDATION ENGIE, WOMAN EST PLUS QU’UN FILM, C’EST UNE RAISON D’AGIR

POUR LA FONDATION ENGIE, WOMAN EST PLUS QU’UN FILM, C’EST UNE RAISON D’AGIR

« Lors des interviews, nous avions parfois le sentiment que les femmes avaient attendu cet instant toute leur vie. Elles avaient besoin de libérer des douleurs si ancrées qu’elles ne pensaient pas être capables d’en parler. Dans une époque complexe, où l’humanité donne parfois l’impression de foncer dans le mur, la vision des femmes est porteuse d’espoir. Dans ce contexte, il est important de « redonner » la parole à la moitié de l’humanité que l’on entend le moins » racontent Yann Arthus-Bertrand et Anastasia Mikova.

La fondation ENGIE a souhaité aller plus loin et apporter son soutien à des projets des initiatives présentées dans le film pour agir aux côtés de celles qui témoignent.

Soutien aux femmes victimes de viol en République Démocratique du Congo

En RDC, le viol est devenu une arme de guerre des groupes qui se battent pour le contrôle des minerais de la région. Le Prix Nobel de la Paix Denis Mukwege lutte contre ce fléau. Celui qu’on appelle le « réparateur des femmes », a soigné plus de 50 000 femmes survivantes de violences sexuelles dans son hôpital de Panzi, qu’il a créé en 1999. Les victimes sont opérées dans l’établissement, grâce à des techniques de pointe d’endoscopie médicale, elles sont également accompagnées psychologiquement et juridiquement.

Parce que la cause des femmes est au cœur de ses engagements, la Fondation ENGIE a décidé d’apporter son soutien à Denis Mukwege. Ce partenariat prévoit le reengineering des installations électriques de l’hôpital de Panzi, ceci en vue de la sécurisation de l’alimentation électrique ainsi que d’une augmentation importante de l’efficacité écologique et économiques de l’ensemble des installations et équipements de la structure.

ONG des villageois de Ndem au Sénégal

Nous voulons être un partenaire qui agit. Avec les équipes de WOMAN, nous avons identité l’ONG NDEM au Sénégal, située entre Dakar et Saint-Louis, pour lui apporter notre soutien. Cette ONG de 4 600 membres, dont de nombreuses femmes actives, intervient depuis plus de 30 ans auprès de 16 villages, dans des domaines variés tels que la santé, l’éducation, l’environnement, l’agroécologie ou encore l’entrepreneuriat. Elle a aujourd’hui besoin de forages et d’installations solaires pour continuer de développer son programme et apporter l’énergie aux habitants les plus isolés. Nous avons mis Energy Assistance, ONG interne du Groupe ENGIE, sur le coup pour perfectionner au mieux le programme.